Gribouillages

Gribouillages

Bouquins

Bon, alors, une sorte de bibliothèque virtuelle avec des fiches techniques des mangas que je lis


1984

Titre original : -

 

Auteur : George ORWELL

 

Genre : roman d’anticipation

 

Date de parution : 1949/France : 1950

 

Editeur : Gallimard

 

Collection : Folio

 

Résumé : « George ORWELL dépeint dans le prophétique 1984 un terrifiant monde totalitaire. » 

 

Avis personnel : Il s’agissait à la base d’un livre à lire pour le lycée. J’ai été agréablement surprise de voir que tous les livres donnés par les professeurs de français n’étaient pas horribles. La première partie, la plus riche en description du monde totalitaire dans lequel vit Winston Smith, m’a particulièrement plut, cette dictature étant tout à fait crédible. Si la troisième et dernière partie m’a également plus, la deuxième quant à elle, m’a parut extrêmement longue et plutôt ennuyeuse, cette histoire d’amour ne m’a pas semblé attachante, tout comme Julia, le personnage féminin. Il reste malgré tout un livre que j’ai apprécié.

 


30/08/2013
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Shugo Chara

Coucou! Aujourd'hui me revoilà pour une nouvelle critique de manga^^, Shugo Chara

 

Auteur: PEACH-PIT

 

Genre: Shojo, romance, magical girl

 

Résumé: A l'académie Seiyo, Amu Hinamori est considérée comme une fille "cool and spicy". Mais la réalité est tout autre: Amu est en fait une jeune fille coincée qui n'arrive pas à être ce qu'elle voudrait. D'un voeu réalisé un soir où la jeune fille se sentait particulièrement mal, naissent trois Shugo Chara, entendez par là trois gardiens de personnalité chargés d'aider Amu à devenir celle qu'elle voudrait: Ran, une grande sportive, Miki, une artiste, et Su, la parfaite petite femme au foyer. Voilà aussitôt Amu propulsée au rang de Joker parmi les "gardiens" de l'école. Sa mission: chasser les oeufs X, qui naissent du coeur d'un enfant mal dans sa peau. MAis il semblerait que la mystérieuse société Easter ait décidé de lui mettre des bâtons dans les roues...

 

Les personnages principaux (je mets juste des images parce qu'après on va m'accuser de spoiler si j'en dis trop)

 

Amu Hinamori 

 

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Tadase Hotori, le roi des gardiens

 

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Ikuto Tsukiyomi (le BBT, quoi)

 

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Nombre de tomes: 12 en France (série finie)

12 au Japon (série finie)

 

Nombre d'épisodes: 127 épisodes répartis sur trois saisons (disponibles en VOSTFR)

 

Attention!!! Je spoile le moins que je peux mais quand même, faites gaffe...

 

Mon avis:  Alors... ShugoChara était un de mes mangas préférés quand j'étais au collège. Aujourd'hui, je lui trouve quelques petits défauts, mais il reste dans l'ensemble un bon magical girl.

Côté scénario, rien de sensationnel, certes: Amu et les gardiens chassent les oeufs X et luttent contre Easter, la société secrète (enfin pas si secrète) des méchants. Je vais donc m'attarder sur les personnages.

Amu est une pré-adolescente mal dans sa peau, elle a un sale caractère mais n'en demeure pas moins attachante. En fait, à la fin, on en vient presque à regretter la Amu du début. Les personnages des gardiens sont bien développés et disposent chacun d'une personnalité qui leur est propre. Ce sont des personnages agréables, mais je dois dire que je n'aime pas trop le personnage de Tadase (ceci est personnel, bien entendu). Tous ces personnages sont des enfants, âgés d'une douzaine d'années, mais ils diffèrent selon leur personnalité. Je vais donc enchainer avec un gros point positif, et parler du message du manga: l'acceptation de soi (XD le sujet qui me tiens à coeur <=> cf Lovely Complex), et aussi le passage de l'enfance à l'adolescence. Et oui, d'un côté on a Yaya, le gros bébé, de l'autre Kukai, le grand frère, et au milieu, des personnages qui grandissent sans s'en rendre compte et changent. Ah, et les personnages sont beaux XD. C'est important de le dire ou pas?

Côté méchant, j'aime particulièrement le personnage d'Ikuto, qui ne répond à aucune loi, à part la sienne. Pour les autres méchants, on va dire qu'ils changent tous les deux-trois tomes. L'ennui, c'est que parfois le manga tourne en mode Bisounours: quelque soit le combat mené par Amu et les gardiens, à la fin, le méchant devient gentil. Un message d'espoir qui montre que tout le monde peut changer et qu'on a tous une part de bien au fond de nous même, mais voilà quoi, on aimerait bien un gros méchant qui reste méchant. Bref.

Bon, je vous ai quand même dit que c'était un de mes manga préférés du collège, alors, je vais arrêter les points négatifs pour me concentrer sur quelque chose qui me plait vraiment dans ce manga: les tenues!!! Eh oui,il m'arrive d'être une grosse superficielle. Mais les vêtements des personnages sont hyper-stylés, en particulier ceux d'Amu, ce qui rend les dessins agréables à regarder, même si le graphisme est parfois inégal (ah edrew, j'avais dit que j'arrêtais les critiques...). Pour la peine, je vous file un petit aperçu des fringues:

 

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(oui, je vous rappelle que c'est une magical girl)


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Parlons aussi de l'anime. Je n'ai vu que la première saison, donc la critique ne sera valables que pour celle-ci, mais j'ai passé un bon moment en la regardant. Les graphismes sont sympa et bien moins inégaux que ceux du manga, les différentes petites histoires inédites sont cool, et perso, j'ai bien aimé la façon dont était développées les histoires d'amour. Ben oui, il y a des histoires d'amourettes.

 

A qui je le conseille?:  Au collégiennes, sans hésiter. Il y a quelques années j'aurai été incapable de trouver des défauts à ce manga, c'est visiblement un public de minettes de 11-14 ans qui est visé. Et ça marche ^^

 

 

 

 


13/08/2013
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Black Butler

C'te catégorie reste désespérément vide...je suis à la traine

 



 

Auteur: Yana Toboso

 

Genre: Shonen, fantastique

 

Résumé: L'histoire se déroule au XIXe siècle et nous conte les faits de Ciel Phantomhive, un jeune aristocrate anglais. Ciel a brutalement perdu ses parents dans un accident alors qu'il était encore tout jeune. Aux yeux de tous, il apparait alors comme un orphelin, une de ces nombreuses victimes de la vie, qui, suite à un tour fâcheux du destin, se retrouve tout d'un coup comte, dernier du nom, à la tête d'un immense empire : l'entreprise Phantomhive. Une charge bien trop lourde surtout pour un enfant de douze ans. Mais ce que tout le monde ignore c'est que la mort de ses parents n'est en réalité pas accidentelle : il s'agit en effet d'un meurtre et, pour trouver leur assassin, Ciel est prêt à tout. Sous ses traits innocents se cache une détermination inébranlable à envoyer les coupables en enfer quitte à s'y précipiter aussi. Pour lui, vendre son âme à un démon n'est qu'une simple étape quand il s'agit de prendre sa revanche et se laver de toutes les humiliations subies. (Résumé piqué à une cops' disoulée miss mais il gérait la fougère!)

 

Les personnages principaux (je mets juste des images parce qu'après on va m'accuser de spoiler si j'en dis trop)

 

Ciel Phantomhive

 

  (pose très naturelle)

 

Sebastian Michaelis

 

 (moi aussi je veux me battre avec l'argenterie!!!!)

 

Les domestiques

 

 

Undertaker parce que d'abord il est trop claaaaassse!

 

(Misss!! What means Undertaker exactly???? 0_o -Ahem an Undertaker is a man... -dsl private joke)


Nombre de tomes:  Japon: 16 (en cours)

 France: 13 (en cours)

 

Nombre d'épisodes: 36 épisodes sur deux saisons

 

Pourquoi j'aime: Parce que c'est classe! Super bien dessiné, agréable à lire... parce que j'aime l'époque victorienne, à laquelle se passe l'histoire! Parce que j'adore le fantastique un peu glauque, que l'histoire est bien menée, parce que les tenues sont trop belles. Parce que Undertaker il a la classe! (lutin je l'ai déjà dit). Un de mes préférés!

 

Points négatifs: Okay, quand je dis un peu glauque, c'est peut être beaucoup glauque. J'ai pas vraiment de points négatifs à donner, mais je ne le conseillerai pas à tout le monde, et surtout pas aux plus jeunes. Parce que c'est un peu strange des fois. Disons que certains passages sont tout public (par exemple avec le Prince Soma) et d'autres plus délicates (Noah's arch circus, Jack l'Eventreur). Plus que les scènes en elles-mêmes, ce sont parfois les histoires des personnages qui sont un peu hard pour les petiots. Bref!

Quant à l'anime, je n'ai vu qu'une dizaine d'épisodes, mais je préfère le manga!

 

 


19/06/2013
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Lovely Complex

Okay, j'inaugure avec mon manga préféré, quand même!

 

 

 

 

Auteur: Aya Nakahara

 

Genre: Shojo, comédie et romance

 

Résumé: Risa Koizumi est une lycéenne particulièrement grande; à l'inverse, Astushi Ootani ne mesure pas plus d'un mètre cinquante-six! Et, comble de l'horreur, les deux jeunes gens ne peuvent pas se supporter, sont dans la même classe et ont été catalogué de duo comique par tous leurs camarades et profs! Cependant, derrière leurs grandes gueules, les deux sont comme tous les autres adolescents... un peu perturbé par l'amour. Et suite à un pari débile, ils se mettent à la recherche du grand amour. Qui est peut être plus proche qu'ils ne le pensent...

 

Les personnages principaux (je mets juste des images parce qu'après on va m'accuser de spoiler si j'en dis trop)

 

Risa Koizumi

 

Atsushi Ootani

 

(Téma la tête aussi)

 

Et puis la bande de potes

 


Nombre de tomes:  Japon: 17 (série finie)

 France: 17 (série finie)

 



 

Nombre d'épisodes: 24 X 25 minutes (disponible en VO et VOSTFR )

 

Attention!!! Je spoile le moins que je peux mais quand même, faites gaffe...

 

Mon avis:  Comme je l'ai dit au début de cet article, c'est incontestablement mon manga préféré. Alors évidemment, il y a pas mal de points positifs. Déjà, parlons de l'histoire en elle-même: pas trop compliqué, c'est une histoire d'amour de lycéens, qui balance entre humour et émotion. Alors, non pas de combats en tout genre ni de sauvetage inopiné de notre chère planète bleue. Risa, Ootani et leurs copains sont comme vous et moi, des gens ordinaires. Mais on ne peux pas s'empêcher d'être pris dans le feu de l'histoire: une fois commencé, on trépigne d'impatience jusqu'au dénouement, on s'énerve quand les protagonistes ne parviennent pas à comprendre ce que nous, on sait depuis plusieurs chapitres, et on rit. Beaucoup. Car une bande de lycéens, ça ne se prend pas au sérieux, et on assiste à des scènes particulièrement hilarantes, d'autant plus que les deux personnages principaux passent le plus clair de leur temps à se chamailler (la voilà, notre principale source de baston). On pleure, aussi. Non, en fait, je pleure comme une madeleine à chaque fois. Emue par le sort de nos personnages (non, ce manga n'est PAS tragique. C'est moi qui ai un sérieux problème).

Ensuite, les personnages. Dans les Shojo, on retrouve généralement le triangle gagnant: héroïne niaise - beau gosse - mec ténébreux. Mesdemoiselles et Messieurs (si, je pars du principe que ce manga peut intérêsser -lutin j'arrive pas à l'écrire ce mot ça fait dix tentatives toutes foireuses!!- des mecs), laissez tomber les préjugés. Ici l'héroïne est une grande gueule de 1m72 et le héros un nain (pardon à tous les petits) incpabable de comprendre même ce qui coule de source. Et pourtant, ces deux idiots sont bien plus attachants que n'importe quel trio de Shojo. Pourquoi? Et bien, sans doute parce qu'ils semblent... humains. Ils sont loin d'être parfait et stéréotypés, et personnellement, je n'ai aucun mal à me reconnaître ou de reconnaître mes amis dans ces personnages, secondaires y compris. En effet, la galerie de potes n'est pas en reste: de la meilleure amie surexcitée au beau gosse qui n'a rien dans le ciboulo en passant par le grand timide, la première de la classe ou le mec dans la lune, on les retrouve tous. Et c'est surement le fait qu'ils soient si réalistes qui donne envie de croire à leur histoire et les rend attachants.

 Ensuite, parlons un peu du message, histoire de dire que je fais une analyse profonde et détaillé qui plairait à mon ancienne prof de français (Mme, merci!!! Grâce à vous j'ai géré au bac). Evidemment, le message qui transparait est assez clair: les apparences ne comptent pas. A ce sujet, Nobuko, la meilleure amie de Risa, fait d'ailleurs une très jolie conférence sur "la poitrine intérieure" de son amie. Vous avez saisi le concept. Il est aussi question de l'acceptation de soi. Mention spéciale pour le personnage de Seiko, un jeune homme qui ressemble à s'y méprendre à une demoiselle et qui est fou amoureux d'Ootani et qui, à juste titre dit à Risa, qui pense ne pas pouvoir aimer Ootani car il est plus petit qu'elle: "si vous n'avez pas le droit de l'aimez, alors ça veut dire que moi non plus". Belle appel à la tolérance. Allez, je verse une larme. Non je blague.

Maintenant, revenons à quelque chose de moins poétique et abordons un sujet plus pragmatique, concernant le style du manga en lui-même. L'agencement des cases est dynamique, les dessins sont jolis, bref un style efficace, qui privilégie les émotions. D'ailleurs, on trouve aussi bien de magnifiques gros plans sur des visages en pleurs que des grimaces irréalisables dans la vraie vie. Bref, un concentré de fraicheur. Et en 17 tomes, cette série n'a pas le temps de lasser.

Dernier point de cette critique qui ressemble plus à un éloge qu'à autre chose: un petit mot sur l'anime. Fidèle au manga, on retrouve le même esprit. Allez, petit point négatif: les grimaces de Risa sont exagérées dans l'anime. trop de grimaces tue la grimace. Et pour les non habitués, il n'existe malheureusement pas de version française. 

Au terme de cette étude, force est de constater (non je dec' c'était pour rire, je vous jure, ne me trucidez pAAAAAAAAHHH!!!) que Lovely Complex est un manga frais et dynamique, qui mêle habilement humour et émotion, et bref, enfin edrew quoi, c'est mon manga préféré!!!!

(Et là, une prof de français aguerrie vous dira que votre conclusion manque d'ouverture)

 

A qui je le conseille?:  Tout le monde!!! Non, ok, me frappez pas. Plus pour les filles, mais je suppose que les mecs peuvent aussi aimer... Oh et puis zut je sais pas moi! Je peux juste vous conseillez sur l'âge: pas trop jeune parce que les petits risques de s'embêter, mais franchement, collège lycée (et après ^^) c'est nickel. Il n'y a aucune scène difficile ou déplacée, donc voilà...

 

Tchao les gensss on se retrouve bientôt (<= c'est relatif...) pour une nouvelle critique!

 

 

 

 


24/04/2013
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